Entre 1774 et 1789, François de Monville, créa le Désert de Retz.
Riche célibataire, passionné d’architecture, de botanique et de musique, il mena une vie d’oisiveté, due à l’héritage considérable que lui a laissé son grand-père qui avait été fermier général.
Dans les alentours du village de Retz, en lisière de la forêt de Marly, il va concevoir un jardin pittoresque anglo-chinois, l’un des rares à subsister dans une forme proche de sa création d’origine.
Le tracé de son parc s’inscrit dans un parcours évoquant différents courants de pensée inspirés des lumières et de la franc-maçonnerie.
Ce parc paysager aux essences rares faisait à son origine 38 hectares et comprenait 20 fabriques.
Les fabriques étaient des constructions à vocation ornementale. Prenant les formes les plus diverses, les fabriques évoquent en général des éléments architecturaux inspirés de l’histoire, de contrées exotiques ou de la nature.
Le jardin du Désert de Retz fait aujourd’hui 17 hectares et compte encore 7 fabriques : la colonne détruite, la tente tartare, l’église gothique ruinée, le temple au Dieu Pan, le petit Autel presque ruiné, le théâtre découvert et la glacière pyramide. Les autres fabriques : la maison chinoise, l’orangerie, le rocher, les serres, le tombeau, l’ermitage et l’obélisque ont malheureusement disparu.
La visite de ce lieu insolite vaut vraiment le détour et répondra à votre envie de verdure et de calme. Il y a comme une impression de bout du monde qui règne dans ce jardin hors du temps.
En visite libre, vous pourrez télécharger une application audioguide gratuite et l’ouvrir en amont de votre visite afin que l’ensemble du contenu soit disponible. Pour ceux qui n’ont pas de Smartphones, des tablettes sont à votre disposition à l’accueil.
Pour plus d’informations : http://www.ledesertderetz.fr/votre-visite/informations-pratiques
Je porte une robe fluide et fleurie et un sautoir Camaïeu. Il fait encore chaud et porter des fleurs fait du bien au moral.
J’ai trouvé cette petite pochette en cuir dont le rabat est pailleté chez une créatrice qui a son stand de temps en temps à l’entrée d’Intermarché Orgeval. Très mignonne, elle est aussi particulièrement pratique.
Mes compensées sont en satin bronze, elles proviennent d’une ancienne collection de chez André. Cette couleur est assez rare dans les différentes enseignes et c’est bien dommage car elle se marie facilement avec les autres couleurs.
Les pièces alternatives :
Pour la robe :
Pour le sac :
Pour les compensées :